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Painting inside the installation À perte de vue, 2021

Misty Bliss, 2020
oil on canvas
162 x 130 cm

À perte de vue, 2021 

In collaboration with curator and author Gaya Goldcymer. 
Mixed media installation : painting, film et soundscape.
It will be shown in june 2021 at la Galerie Épisodique, Paris.
Capture d’écran 2020-08-01 à 19.40.53.

Extract from the film inside the installation À perte de vue, 2021

À perte de vue, une installation mêlant peinture, film et paysage sonore est le fruit d’une collaboration entre Gaya Goldcymer et Lisa Ouakil. Alliant les pratiques d’écriture et artistiques de chacune, l’oeuvre a pour volonté d’interroger notre perception du réel, mettant en exergue la lisière entre réalité et fiction, tout en questionnant notre rapport à la nature. À perte de vue est un éco-système où l’ensemble des médiums constituent autant de voix qui se répondent, recréant des nouveaux récits et strates de sens, au sein duquel le spectateur peut se projeter. C’est également une manière de remettre en jeu les conditions de monstration de la peinture en la replaçant au coeur d’une installation, où elle côtoie de manière simultanée et vivante, différentes recherches artistiques qui ont possiblement précédé sa construction et nourri sa réalisation.

À perte de vue is a multi-disciplinary installation mixing painting, film and soundscape, resulting from a collaboration between Gaya Goldcymer and Lisa Ouakil. Combining the writing and artistic practices of each of them, the work aims to question our perception of reality, highlighting the border between reality and fiction while questioning our relationship to nature. À perte de vue is an ecosystem where all mediums interact with each other, recreating new stories and layers of meaning, within which the viewer can project himself. It questions the usual display of painting by placing it at the core of an installation, where it is shown alongside other artistic research which may or may not have been at the origin of its realization.

Capture d’écran 2020-08-01 à 19.40.14.

Extract from the film inside the installation À perte de vue, 2021.

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Rebecca, 2018

 

Une jeune fille, Marlène, raconte la disparition d’une de ses anciennes amies, Rebecca, dont elle vient de recevoir une lettre.
 

Le film évoque la notion d'absence et nos réactions face à celle-ci. Il explore les différences entre vérité et souvenir, ainsi que le rôle de l'imagination qui se veut salvatrice.

 

C'est l'entre-deux vu comme une faille, une brèche. Là où l’on glisse. Là où l’on s’engouffre. Un trou ou un appel d’air. C’est aussi l’incertitude, l’indécision, le moment où nos pieds sont comme en sursaut au dessus du gouffre, avant qu’ils ne reposent à nouveau sur le sol. L’entre-deux comme l’espace entre deux mondes ou l’espace entre deux mots.

 

Le film entier (14 min) est constitué de deux temps de récit de 7 min, et a été conçu pour être projeté et visionné en boucle et sans générique, lors d’une exposition collective intitulée L’Entre Deux à La Galerie Épisodique du 22 juin au 14 juillet 2018.

Les deux récits étant presque exactement identiques, les spectateurs peuvent alors déambuler dans l’espace, ne sachant pas s’ils ont déjà vu tel ou tel passage du film. Ce qui renforce le caractère étrange du film, et le positionnement de la jeune fille qui raconte.

Rebecca, 2018

A young girl named Marlène tells the story of an old friend's disappearance, Rebecca, from which she just received a letter.

The film talks about the notion of absence and how we cope with it. The differences between truth and memories, and the saving role of imagination.

 

The film relate to the in-between as a breach. The space between two worlds or two words.


As viewers, we don't know who Marlène is and where is she, it could be an actress repeating her lines, a girl in a mental hospital...

 

The film was made for a collective exhibition in Paris, at La Galerie Épisodique, which was entitled "The In-Between", June 22th - July 14th 2018.


 

Pression à Froid, 2017 

40 min

 

Le film raconte l’histoire d’une jeune fille, Gisèle, qui travaille avec des gangsters pour protéger son frère. Un mardi, la jeune fille reçoit un sac du chef de gang, qu’elle doit donner à un homme de main le vendredi suivant. Qu’y a t-il dans ce sac ? Est-ce pour tuer son frère?

En parallèle, Gisèle rencontre tous les matins, au même endroit un jeune homme avec qui elle noue une relation amoureuse. Petit à petit tout s’imbrique. 

 

Le film est marqué de plans à la temporalité longue qui font écho à des tableaux presque photographiques. Il est articulé autour de la volonté de détricoter les codes du polar, de la fausse piste mais aussi d’explorer le lien filial, amoureux et le rapport à l’enfance. D’apparence classique, le film dérape et glisse dans des zones floues, non explicites, où les questions et les réponses s’entrechoquent. 

Cold Pressure, 2017

The film tells the story of a young girl named Gisèle, who is working for gangsters in order to protect her brother. On a tuesday, she receives a bag from the head of the gang, that she must give to a henchman next friday. What is in this bag ? Is it to kill her brother ?

Meanwhile, Gisèle meets every morning, at the same place, a young man with whom she starts a love relationship.

Progressively, everything interlock.

The film is punctuated by shots of long durations that tends toward paintings and still photographs. It is built around the idea of playing with the codes of polar genre, with false leads, but it is also an exploration of filial bond and love, in relation to childhood. In some regards, Cold Pressure relates to a classical narrative scheme, but then, it slides in fuzzy and blurred areas, non explicit, where questions and answers collide.

Dare to let your light shine in the darkness, 2014

Extase, 2014 

 

Resonance, 2012

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